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  • : Le blog de la choupinette des cîmes
  • : Anecdotes professionnelles et personnelles de la vie d'une jeune vétérinaire passionnée.
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Bienvenus à tous sur mon Choupi-blog !
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Précision: je ne fais pas de diagnostic en ligne car cela nécessite une consultation en chair et en os !
Chaque cas est unique, et beaucoup de maladies présentent des symptômes en commun. Internet ne peut remplacer une visite chez votre vétérinaire préféré !

Je ne répondrais donc pas aux e-mails me demandant un avis ou un diagnostic.


  Les conseils que je donne pour les propriétaires, ont surtout pour objectif de:
- vous informer,
- vous aider à prendre soin de votre minou ou de votre toutou,
- et vous alerter sur les signes ou symptômes à ne pas minimiser pour le bien de votre animal.


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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 13:20
Il y a quelques semaines de ça, j'étais en mode "tornade blanche" pour préparer mon appart à l'arrivée de ma future colocataire (allergique aux chats, alors je voulais vraiment que ce soit complètement propre et dépoilé, même si mon chat n'y avait pas mis les pattes depuis plusieurs mois (cause squattage chez le choupinou.. ihihih.) ).

Tri de papier, dépoussiérage en profondeur, décalcairisation des surfaces de la salle de bain, jetage de tout ce qui n'a pas servi depuis plus d'un an... et surtout: lessives à la chaîne (rideaux, oreillers, tout y est passé).

Pensant bien faire, j'ajoute des boules de lavage dans le tambour de ma machine, pour laver la grande housse de "Crotte de mammouth" plus connu sous le nom du "canapé lit de Caro". Bref la housse du canap' donc.
Je me suis dit que le lavage serait plus efficace avec ces petites boules qui le fouetteraient à chaque tour.

Jusque là tout allait bien.

Une fois la lessive terminée, je sors la housse: Quelques boules tombent à terre... Pas grave. Je peine un peu à sortir la housse car une fois gorgée d'eau, ça coince un peu par la porte, et ça fait gigoter un peu le tambour dans son caisson, mais je parviens vite à sortir la bête. Je la met sécher, et retourne à mes activités.

Quelques jours plus tard je lance à nouveau une lessive.
Et soudain,c'est le drame. J'entends que ça ne tourne plus et que ça fait un bruit inhabituel, comme ci ça forçait. Je vais voir. Bizarre, ça sent le "chaud", le plastique chauffé... et la machine s'arrête... bizarre, le cycle n'avait commencé que depuis un petit quart d'heure...

J'ouvre la trappe. Je cherche à tourner le tambour pour l'ouvrir, mais rien à faire, il est coincé.

Et là je tilte: une de ces fichues boules de lavage a dû tomber entre le tambour et le caisson quand j'ai sorti la grosse housse il y a quelques jours.  Et elle a dû se mettre à un endroit qui bloque le tambour.... AAAAAAHHHHH

J'appelle mon Choupinou à la rescousse.

Il arrive avec ses gros bras musclés: il force un peu, et là CHLACK ! quelque chose cède, et il parvient à faire tourner le tambour.

"ça y est, c'est débloqué"
OUF

Bien sûr le linge est gorgé d'eau... Va falloir tout recommencer pour cette tournée... Enfin ça c'est pas encore bien grave, mais j'aperçois soudain un truc noir qui dépasse de dessous la machine.

"C'est quoi ce truc noir qui sort en dessous" demandais-je un peu naïvement.
"et m****de!!!"
"quoi? quoi? quoi? c''est grave?"
"C'est la courroie, elle est cassée"

AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH
oh rage, oh désespoir !

Je me suis dit ça y est, à cause d'une connerie de boule, j'ai cassé ma machine qui a à peine trois ans !!!

Mais c'était sans compter sur mon Mac Choupi-Gyver !!!

Ni une ni deux, il va sur un site spécialisé.
Il se renseigne et commande la courroie adaptée.

Hier après midi, on va à l'appart' pour tenter de débusquer la boule. Ça m'embêterait que ma coloc' ne puisse pas faire ses lessives.
Il démonte un truc, puis un autre, puis encore un autre... laparotomie exploratrice en direct live !
"t'es sûr que tu arriveras à tout remettre dans le bon sens"
"mais oui, t'inquiète pas"
Malgré le démontage assez poussé, nous sommes bloqués: la boule est coincée dans un endroit où on ne peut accéder, ou alors il faudrait vraiment TOUT démonter et ça c'est pas possible avec nos outils à nous. Le seul accès c'est le trou d'évacuation. Mais on ne peut pas l'atteindre par là car quelque chose bloque la boule dans un autre cadran du caisson... Il doit y avoir quelque chose qui l'empêche de bouger librement.
On a bien essayé de pencher la machine dans divers sens pour la faire passer vers l'arrière (là où se trouve l'évacuation) mais rien à faire.
Soudain, le Choupi-Gyver a une idée lumineuse: il démonte un truc au niveau du tambour (une espèce de truc plastifié (que j'ai cru qu'il ne pourrait jamais remettre mais bon je lui fais confiance un p'tit peu quand même) il y en a 3 au total au niveau du tambour je ne sais pas à quoi ça sert) : et alors il plonge le bras par la porte du tambour, et avec cette nouvelle ouverture en face, de l'autre côté, il visualise la boule, la saisit avec ses doigts choupiniens, il visualise aussi les résistance thermiques qui la bloquaient, et la fait passer avec dextérité dans le cadran où se trouve la sortie.
J'entends alors le bruit magique d'une boule tombant dans un trou de billard.
"C'est bon? Naaaann, c'est pas possible!!! t'as réussi??? "
"ben va voir!" dit alors le Choupi-Gyver sûr de lui.

Je me penche et magie: la boule est sortie !!!!
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiihhhhhh

Etape UNE de la réparation ACCOMPLIE !!!! TROP FORT !!!!!

Il ne reste plus qu'à attendre l'arrivée de la courroie et ma machine à laver sera comme neuve !!!!

Je n'aurais jamais pu la réparer toute seule, et je ne sais pas combien cela m'aurait couté, mais je suis trop fière de lui !
Il est trop TROP fort, en tout !! (bon ok, l'amour ne me rend peut être pas très objective!)

Ne rêvez pas les filles, je ne le prête pas !!! même pour des réparations d'ordinateur !

C'est le mien, il est génial, et je le gaaaaarde !
Il serait même bon à marier tiens...

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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 01:13
J'ai réécouté ce soir cette chanson de Calogero que j'aime beaucoup, les paroles me touchent, c'est comme ça. Peut être par rapport à mon histoire... Cette chanson a quelque chose de beau. De pur. De sincère.
La mélodie, les paroles, la voix... elle me transperce.


En l'écoutant cette fois, je me disais que c'est un peu toi et moi.
C'est un peu toi qui me dit que tu m'aimes, malgré mes cicatrices, et malgré ma fragilité et les conséquences qu'elle a sur nous, sur toi.

Quand tu m'a rencontrée, j'étais à peine réparée. Et parfois encore maintenant, je suis dure avec toi. Parce que mes anciennes blessures me font peur et que je n'en veux pas de nouvelles. Pardonne moi si je suis dure, donne moi le temps qu'il me faut pour ne plus avoir peur. Peur de toi, peur de moi, peur de la vie, peur de te perdre, peur de demain.
Je ne veux pas te faire du mal, j'ai juste peur.
Comme il le dit, dans la chanson "La violence en retour, de mes caresses, j'ai le temps j'attendrai, c'est pas ces bleus là qui blessent"

Grâce à toi, ta patience, ton amour... et parce que tu m'as emmenée dans ta vie, m'as tirée vers le haut, vers le beau, dans un petit nuage de douceur rien qu'à nous. Je suis enfin mieux. Je suis enfin moi.

Emmène moi où tu m'aimes, et garde moi. Là où il ne fait plus jamais noir, là où je n'ai plus peur.
Parce que c'est là que je t'aime aussi, c'est là que je suis bien.
C'est là que je revis.

Je t'aime.
J'aime ce que nous sommes, celle que je suis avec toi.
J'aime ce qui nous unis.
Et j'aime ce qui nous attend.


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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 18:51
DSCF2755.JPG
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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 11:33
Une soirée réconciliation... c'est comme ressuciter du coeur, c'est comme un "reset" de l'amour. Les pendules sont remises à zéro, et on se rend compte qu'on s'aime comme au premier jour.

On se trouve cons de s'être fâchés, et tristes de s'être perdus quelques minutes, quelques heures.
Oubliée la journée de désarrois chacun de son côté, à ne savoir ce que l'autre allait décider. Oubliées la peine et la colère.

Le bonheur de se retrouver après avoir connu la crainte de s'être perdus, ça rend encore plus amoureux.
On se rend compte de la chance que l'on a d'être deux, de s'aimer pour le pire et le meilleur. Et on prend conscience que c'est quelque chose de fragile que l'on pourrait perdre.
Alors, une fois qu'on s'est sont retrouvés, on en profite encore plus. Conscient de la force du lien qui nous lie.
Les bras, les mains, les lèvres, le simple contact de l'autre, qui nous a manqué pendant une journée, et que chacun a eu peur de ne jamais retrouver.

Tendresse. Regards électriques. Nos mains qui s'effleurent.

Et se serrer l'un contre l'autre, peau contre peau. Juste comme ça, dans les bras l'un de l'autre, les yeux fermés, c'est un bonheur à savourer.


Et se pardonner le mal qu'on peut se faire, parfois, quand on ne se comprend pas.
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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 13:10
La choupitude, c'est un art de vivre, une façon d'être, parfois presque même... un leit motiv !

Ca m'est tombé dessus un peu par hasard. Comme une bouffée de bonheur à laquelle on ne s'attendait pas.
Il y a environ 5 mois, j'ai été submergée par une vague de choupinessence, et ce, grâce à une belle rencontre.
Le lendemain je l'ai appelé: "Comment vas-tu aujourd'hui?"
Et il a répondu: "Je suis tout choupi"

C'est ainsi que ça a commencé. J'ai tout se suite compris ce qu'il voulait dire: cette envie de sourire à la vie, ce tourbillon d'émotion qui fait palpiter le coeur et se serrer notre estomac. Cette envie de faire plein de projets, de bouger, de tout chambouler, d'aller de l'avant. Cette hâte d'être demain... pas parce que le présent ne nous plaît pas mais pour voir ce que la vie nous réserve comme belles surprises !

La choupitude, c'est essayer de rester choupi, malgré les petits aléas de la vie quotidienne, malgré la fatigue, le mal de tête ou de ventre suivant les moments, malgré les journées trop chargées, et les nuits trop courtes. C'est savoir sourire à notre moitié, parce qu'on l'aime qu'il fasse beau ou que les nuages nous cachent le soleil.

Etre choupi, c'est ne pouvoir retenir notre sourire, faire prendre l'air à nos jolies dents de devant, avoir envie de sautiller sur place, de faire tourner notre robe, et se sentir léger, tellement léger qu'on a presque l'impression de s'envoler.

A tous les Choupiniens et Choupiniennes du monde ! Soyons Choupis !!! Restons Choupis !!!
Et la vie n'en sera que plus choupie !

Vous avez de la chance, la Choupitude est contagieuse !
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